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1.
HIV Medicine ; 22(SUPPL 2):28, 2021.
Article in English | EMBASE | ID: covidwho-1409364

ABSTRACT

Background: Dolutegravir/Lamivudine (DTG/3TC) 2-drug regimen (2DR) was non-inferior to a tenofovir alafenamide (TAF)-based 3-/ 4-drug regimen (3/4DR) (TBR) through the Week 48 primary endpoint in TANGO. Here we present prespecified Week 96 secondary analyses from TANGO. Method: TANGO, a randomized, open-label, non-inferiority phase III study, evaluates efficacy and safety of switching to once-daily DTG/3TC in HIV-1- infected, virologically suppressed adults vs remaining on a TBR over 148 weeks. Week 96 analysis assessed non-inferiority with a 4% non-inferiority margin for Snapshot virologic failure (VF) and 8% for virologic success (VS;US Food and Drug Administration Snapshot algorithm, intention-to- treat- exposed [ITT-E] population). Results: 741 participants were randomized/exposed (DTG/3TC: 369;TBR: 372). For Snapshot VF, switching to DTG/3TC was non-inferior to continuing TBR at Week 96 in the ITT-E analysis: 0.3% vs 1.1%;adjusted difference: -0.8% (95% CI: -2.0, 0.4) and superior to TBR in the per-protocol analysis: 0% vs 1.1%;adjusted difference: -1.1% (95% CI: -2.3, -0.0);P = 0.044 (2-sided). Snapshot VS was high in both arms (DTG/3TC: 85.9%;TBR: 79.0%;adjusted difference: 6.8% [95% CI: 1.4-12.3]). Forty-four participants (5.9%) had missing data in the Week 96 window due to COVID-19. No participants on DTG/3TC and 3 (<1%) on TBR met confirmed virologic withdrawal (CVW) criteria, with no resistance observed at failure. Overall adverse event (AE) rates were similar between arms, with more drug-related AEs in the DTG/3TC arm. Total cholesterol (TC), low-density lipoprotein cholesterol, and triglycerides improved significantly with DTG/3TC, whereas high-density lipoprotein (HDL) cholesterol changes significantly favored TBR, with no difference in TC/HDL-cholesterol ratio between arms. Decreases in glomerular filtration rate by cystatin C were observed with significantly lower decreases in the DTG/3TC arm;proximal tubular function marker changes were small and similar across arms. Conclusion: At Week 96, switching to DTG/3TC FDC was non-inferior to continuing a TAF-based 3/4DR in maintaining virologic suppression in HIV-1- infected antiretroviral therapy-experienced adults. The safety profile of DTG/3TC FDC was consistent with the DTG and 3TC respective labels. DTG/3TC 2DR offers a robust switch option with durable efficacy, good safety and tolerability, and a high barrier to resistance with zero CVWs through 96 weeks.

2.
Infectious Diseases Now ; 51(5):S128-S129, 2021.
Article in French | EMBASE | ID: covidwho-1347645

ABSTRACT

Déclaration de liens d’intérêts: Les auteurs déclarent ne pas avoir de liens d’intérêts.

3.
Infectious Diseases Now ; 51(5, Supplement):S66, 2021.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1336498

ABSTRACT

Introduction Un nouveau coronavirus, le SARS-CoV-2 est apparu à Wuhan en Chine fin décembre 2019. Il est responsable d’infections respiratoires, pouvant mener à un syndrome de détresse respiratoire aigu (SDRA) et au décès. Ce virus s’est rapidement répandu dans le monde. En France, les premiers cas ont été diagnostiqués fin janvier 2020. Un confinement national a été mis en place de mars à avril 2020 pour tenter de contenir l’épidémie. L’objectif de notre étude était de déterminer le poids de la COVID-19 chez les personnes vivant avec le VIH (PVVIH) après la première vague de la pandémie. Matériels et méthodes Nous avons réalisé une enquête épidémiologique du 1er avril au 1er août 2020 dans un centre de référence pour la prise en charge des PVVIH. Lors de leur première visite de suivi après la levée du confinement, les PVVIH ont rempli un questionnaire sur les facteurs d’exposition et les symptômes compatibles avec la COVID-19. Une sérologie SRAS-CoV-2 était prélevée lors de la consultation. La prévalence, l’incidence et les facteurs de risque de la COVID-19 chez les PVVIH ont été déterminés. Résultats Six cent PVVIH ont été inclus. Une infection à SARS-CoV-2 était confirmée chez 16 d’entre eux. Les symptômes compatibles avec la COVID-19 étaient fréquents chez les PVVIH en présence ou non d’une infection confirmée à SARS-CoV-2 (67 % vs 32 %, p=0,02). Parmi les PVVIH ayant présenté une infection à SARS-CoV-2 confirmée, une (6 %) a été hospitalisée, 5 (31 %) sont restées asymptomatiques. Il n’y avait pas de différence concernant l’âge, le sexe, les comorbidités associés, et les variables liées à l’infection par le VIH entre les PVVIH ayant ou non contracté la COVID-19. Seul un contact rapproché avec une personne infectée par le SARS-CoV-2 était associé à l’acquisition de la COVID-19 (40 % vs 13 %, p=0,01). La prévalence de la COVID-19 chez les PVVIH était de 2,5 %, la moitié de celle observée dans la population générale après la première vague de la pandémie en France. L’incidence était estimée à 0,16 pour 100 patients/semaine. Conclusion La prévalence de la COVID-19 chez les PVVIH était 2 fois moindre que celle observée dans la population générale. Seul un contact rapproché avec une personne infectée par le SARS-CoV-2 était associé à l’acquisition de la COVID-19. La proportion d’infections à SARS-CoV-2 asymptomatiques était élevée chez les PVVIH.

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